jeudi 17 janvier 2008

noir et blanc


qui pourrait reconnaitre les humbles gens de cette photo...a vos commentaire.

1 commentaire:

AMAROUCHE L.AS. a dit…

Bonsoir !

Nous sommes les héritiers de ceux qui sont morts, les associés de ceux qui sont vivants, la providence de ceux qui naîtront dit un penseur. Comment se fait-il que l'organisation sociale remarquable kabyle de naguère selon le dictionnaire Larousse est démantelée avecl'avènement de l'éclatement des familles et leurs dispersions ? Dans un seul et même village, les familles proches génètiquement parlant construisent leurs maisons l'une à côté de l'autre pour se munir, se prémunir et se faire protéger en cas d'oppression et d'agression. Aujourd'hui cette tradition est délaissée au nom de l'autonomie.

Ces personnages morts dont seule la grande kabylie a pu avoir l'idée de conserver les anciennes photos légendaires avaient mené une vie rude pour construire les villages aux hauts sommets des montagnes et leur évocation par devoir de mémoire se fait rare une fois au cimetière. Autrefois, ils étaient portant fiers.

Ces bancs servent aux fractions qu'étaient thijoumaâs. Dans notre village d'El-Main, il y avait 5 djémaâs qu'étaient thajmaâth n'saourirth, thajmaâth n'tschrahines, thjmaâth l'hara ou fella nigh nith ou Siline, thajmaâth nith ahlal, tsjmaâth ouahrik remplacée par les comités de 3 en 1956 lors de la structuration organique de la révolution algérienne sur ordre du défunt martyr feu si Aïssa El Boundaoui. A Azrou Kallal habitaient un feu cheikh nommé si Lakhdar Ou Maati qui avait un fils si Yahia originaires de Thaourmith n'ith Djaâfar, enseignant dans l'école de ce village dont je passe le bonjour à sa famille si vous le connaissez. Y a-t-il un quelconque Moudjahid qui avait une collection de photos anciennes de notre village ? Je vous remercie.

Bravo pour vos travaux et félicitation à votre blog. Bonne continuation !

tanemirt , merci de votre visite

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